Mohammad Fathy lived all his days next to the Nile. And he was as sick as this highly polluted river. He suffered from chronic kidney failure, which killed him. The film tells his story both during his life - his refusal to buy a kidney from a poor "donor" - and after. Il deals with the relationship to the body, tradition, religion, family, healing, and survival in he context of Egypt after a revolution that is precisely about the respect of human dignity and the human body. TS Productions

documentaire, 2000

Ni fiction, ni documentaire, D’Ailleurs, Derrida met en scène la parole du philosophe Jacques Derrida dans quatre pays où il a vécu et enseigné, et avait ses racines : l’Algérie, l’Espagne, la France et les États-Unis.

Derrida se donne avec une générosité rare comme « matériau pour l’écriture de ce film », selon son expression. Nous devenons les compagnons d’un penseur qui nous reçoit, nous invite à écouter sa pensée et, en toute intimité et simplicité, parle de l’Écriture, du Pardon, de l’Hospitalité, de la Responsabilité, de la Femme, de la Communauté… Et aussi de sa mère et de son pays natal, l’Algérie…

film - avec Jacques Derrida. 54 min
De tout coeur est un film en trois temps, ou trois mouvements, autour du motif du coeur. Mon coeur comme le coeur de l’autre ; le coeur en politique ou la politique du cœur (et en particulier en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien) ; et enfin le coeur d’un clone qui résisterait à l’idée même du clonage. Les trois temps de ce film ont été montés ensemble à partir de matériaux filmiques divers que Safaa Fathy a pu accumuler au fil des années, en partie grâce à la volonté des Archives Jacques Derrida (Université de Californie - Irvine) de rassembler ses interventions filmées aussi bien en France qu’à l’étranger. Safaa Fathy a également classé et répertorié la correspondance de J. Derrida à l’IMEC, à Paris.

film-poème, 2004 - avec Jacques Derrida. 29 min

« Nom à la mer est un film-poème réalisé en collaboration avec Jacques Derrida. Mes poèmes, écrits dans un premier temps en arabe, ont été traduits en français par Zeinab Zaza, puis la traduction a été reprise par Jacques Derrida. Il m’a également prêté sa voix pour lire ces poèmes au mois de juin 2004. J’ai pu, à ma grande et profonde gratitude, monter le film et le montrer à Jacques Derrida alors qu’il était à l’hôpital, quelques jours avant son adieu au monde. Il m’a dit qu’il aimerait pouvoir vivre pour le voir sur grand écran. »

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